Hi mate! Sur cette page j'écris à mes heures perdues (et comme tu peux le voir, je n'en perds pas des masses^^) certaines choses plus ou moins importantes, du moins qui méritent leur place ici =) Have a good time!

1/04/2007

Meeting Nameless


Elle me met déjà la pression à 13h05, son train arrive à '52. En fait, elle me met la pression depuis des mois, depuis qu'elle a eu l'idée qu'on se "voie" enfin, par un autre moyen que la webcam-de-José. J'ai intérêt à venir, sinon… Finalement l'idée du réveillon était la bonne, en 2 temps 3 mouvements on se décide, on fait nos bagages, cap sur Viroflay où nous attendent nourriture en abondance et desserts à n'en plus finir, connaissant Willy. Bon, faut que j'y aille, il va être l'heure, je prends Filou, finalement il se révèlera être un boulet plus qu'autre chose, pour une fois.

J'arrive à la bourre à la gare, j'entends le train qui arrive, et merde, finalement j'atteins l'arrivée juste avant elle. La voilà. Mince, je ne l'aurais pas imaginée aussi petite… enfin rien de dramatique^^ Premier contact vocal un peu timide, et des blancs rythment nos conversations. On regarde plus le chien qu'autre chose, lui qui d'ailleurs s'arrête tous les 2 mètres, bon on va le ramener à la casa. "Non elle ne veut pas entrer" on va continuer notre visite de Viroflay. Bon je vous passe les sujets de conversation sur le fameux banc en bois hein, sinon l'exercice de prononciation: de Cuillère à Voiture en passant par carotte et le fantasmagorique Crarutara, elle m'a passé à toutes les sauces. De sauces, il en est question avec les pâtes: bolo, pesto, ou plus simplement beurre ou steack haché (chassez l'intrus).

Bref, quand il a commencé a pleuvoir, elle en avait marre, elle, de rester planter là, et de toute façon, elle avait un train à prendre, 16h15, elle avait pas intérêt à le rater, donc nous cheminons vers la gare (2e fois pour moi). C'est l'heure des "adieux", et je me dis que finalement, si j'avais pas pris le chien, on se serait éclatés mais pendant tout le truc =D

Et elle s'en va.

Qui ça, "elle" ? Isabelle, pardi!
Merci pour cet aprèm'…

Botanique, quand tu nous tiens…


Il est 16h à ma daube. Nous sommes le samedi, 16 décembre, je viens de passer l'après-midi à étudier ce p*** d'examen d'allemand qui fait que je suis encore en examens. Ce soir, c'est le grand soir, William Street se produit au Botanique dans le cadre de la finale du Concours-Circuit Pop-Rock 2006. J'en ai marre, j'arrête de travailler. Hop sur MSN, José est là comme d'habitude. On discute coma d'habitude de conneries et de F-L, quand il me dis "Hé José je viens avec toi au soir" Je sens qu'on va s'amuser ce soir^^.

18h: on est sur l'autoroute, à 5 dans la voiture: Henri, Philippe, Pauline, José et moi. On trouve une place par chance à même pas 100 mètres du Botanique, Rue Royale à Bruxelles. Sur place, pas grand monde, faut dire qu'on est en avance, ça commence à 20h. Tickets achetés, on voit apparaître du monde, Guillaume/William dont le micro de sa guitare fétiche vient de le lâcher, ses parents, Bertrand (mon parrain, son frère), Sahar la copine et tous les potes. A présent Il y a du monde dans la salle déaccueil. Allez, on va voir le premier concert.

20h: We Are Not Flowers. Pas encore beaucoup de monde dans la Rotonde, on arrive un peu en retard, concert assez spécial (duo saxophone/guitare + chants, évidemment), assez sympa mais le style ne plaît pas à tout le monde, hein José? Bref, je reste un peu sur ma faim, malgré les efforts employés par les deux artistes (cuire une omelette aux lardons sur scène, voilà qui n'est pas banal!) Après ce premier concert, un petit verre pour se désaltérer, et tant pis pour Bern Li, qui passe à l'Orangerie, que nous n'irons voir moi et José que quelques minutes.

21h20: le moment est enfin arrivé. Floqué, comme une belle brochette de personnes entrant dans l'intime Rotonde, de mon T-Shirt William Street, et armé de mon appareil photo rechargé au préalable dans la voiture, je suis bien placé, la salle n'est pas grande, je me mets dans le fond et donc au-dessus. La salle est petite, tellement que les gorilles qui vérifient les cachets tamponnés sur la main de chacun doivent refuser l'entrée à nombre de personnes. Il arrive, enfin. "Bonsoir", murmure-t-il à un public qui lui répond aussitôt. De petits problèmes techniques, mais qui ne vont pas gâcher un concert "immense" comme le caractériseront certains spectateurs. Une ambiance survoltée tout le long du concert, des chansons entraînantes et émouvantes, bref, un concert de feu, de fou, tout le monde est sorti de la salle émerveillé même si l'artiste n'a pas répondu positivement à leurs rappels sur scène.

Concernant les deux concerts suivants, nous n'irons voir moi et José qu'une petite partie, les parents étant toujours attablés à la cafétaria, discutant longuement du concert de WStreet. The Big Hat Band tout d'abord, du rock garage, j'avais déjà vu presque le même à l'Entrepôt le 21/10 avec les Archbishops, allez, on s'en va. Puis Francional, électro, un gars planté derrière son écran de laptop, la salle à 1/4 pleine, on s'en va après 5 minutes telement c'est endormant.

Enfin, le dernier participant à se présenter, The Peas project. Là, l'Orangerie est pleine à craquer, il y a de l'ambiance, des rythmes endiablés, un bon petit groupe, faut dire qu'ils sont quand même 11 sur scène!

0h30: Nous n'attendrons pas la communication des résultats aux petites heures, mais après avoir bien bu tout au long de la soirée, on a un petit creux! Direction la friterie "Chez Zeki & Fils" où j'ai terminé les frites de presque tout le monde.
Allez, il est temps de rentrer, il fait froid dehors. Sur le chemin du retour, José et Pauline n'en peuvent plus les petits, ils tombent de sommeil. On raccompagne les voisins jusque chez eux, puis on rentre en silence, l'esprit encore à Bruxelles, des souvenirs pleins la tête, une soirée qui restera dans les mémoires, inoubliable, surout avec ce diable de José :p
Pour l'info, on apprendra que c'est finalement The Big hat Band premier et The Peas Project deuxième. Wiliam Street remporte quand même le Prix PureFM^^

Quelle soirée, hein José?